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Parodie de justice du juge Nasi Jean michel MALATRASI
Cour d'assises de Nice du 21 septembre 2000

Ce fut une audience de justice spectacle menée par le Président de la cour, Jean-Michel MALATRASI avec la complicité du substitut du procureur, Gilles DUVAL.

Ce jour d'ouverture des débats de la cour d'assises, sera pour Jean Michel MALATRASI, l'enterrement de son image de juge probe car il s'est fourvoyé dans une magouille judiciaire, se distinguant de facto dans la voyoucratie.

Nous avons des dizaines de preuves de ses magouilles judiciaires tant sur la forme juridique que sur le fond qu'il a volontairement occulté pour bien manipuler les jurés inexpérimentés.

Ce juge au-dessus des lois n'a pas caché sa partialité durant les audiences

Le Docteur Rachid MABED qui a formé beaucoup de cadres supérieurs français, n'aurait jamais imaginé qu'au coeur de la justice, il puisse exister un magistrat corrompu de la trempe du juge Jean Michel MALATRASI.

Pour le commun des citoyens, la justice ne peut être qu'un appareil aux mains de la probité, du respect des lois du législateur et qui rend des jugements irréprochables.

Il ne peut pas être imaginable, qu'un président de cour d'assises ait pu avoir comme mission de faire condamner un innocent en manifestant ouvertement son impartialité puis en contre parti que ce magistrat fasse acquitter l'assassin d'un policier qui avait été déja condamné à 25 ans.

Non seulement Jean michel MALATRASI est un vrai voyou mais sa place est en prison car il doit impérativement passer devant une cour d'assises de la République pour avoir avoir violer les lois dans le but de mettre l'appareil judiciaire au service de la mafia en col blanc.

Jean Michel MALATRASI est un magistrat corrompu puisqu'il a uriné sur le code de procédure Pénal, il a déféqué sur sa déontologie et qu'il a utilisé la cour d'assises des Alpes Maritimes pour régler ses comptes au Docteur Rachid Mabed.

Ce magistrat sans éthique, a violé les lois de la république, il a magouillé impunément en jetant à la poubelle l'impartialité que lui impose sa fonction sachant qu'il a présidé les débats, obnubilé par le besoin de faire condamner un accusé dont il avait les preuves indiscutables de son innocence.

Vous pouvez lire les 21 preuves de l'innocence du Dr MABED qui sont indiscutables et que Jean Michel MALATRASI a volontairement occultées violant les lois de république.

Jean michel MALATRASI a reçu des instructions mafieuses de sa hiérarchie, qu'il a appliqué à la lettre, à l'image des Nasis de la Guestapo en chasse derrière les innocents juifs.

Il a agi comme les magistrats du régime de Vichy qui ont obéi à des ordres inhumains alors qu'ils avaient le devoir de refuser puis de dénoncer.

Ce président a choisi de porter son tablier de boucher avec des oeillères par lacheté pour faire d'un innocent, un coupable judicaire.

Ce fut une parodie de justice à l'origine d'un attentat judiciaire, programmé par la mafia qui a infiltré la justice dont fait parti jean michel MALATRASI.

Il s'agissait pour le juge Jean-Michel MALATRASI de connivence avec le procureur Gilles DUVAL, de procéder à un semblant de débats au sein de la cour d'assises des Alpes Maritimes dans le but de donner une forme juridique à un attentat judiciaire programmé.

Trois années plutôt, la mafia locale avait décidé l'exécution du Docteur Rachid Mabed, un militant actif pour la défense des droits de l'homme qui venait de déranger l'ordre établi par une fraternelle raciste sur la côte d'azur en ayant la main mise sur le tout microcosme politique Niçois.

Sous l'impulsion du raciste Pierre PETITJEAN (directeur de la police nationale), une mise en examen avec incarcération a été décidée par le substitut Valérie Courtalon sur la base d'aucun élément (on dit bien aucun élément de preuve) et sur une simple déclaration (reconnu publiquement par le procureur Eric De Montgolfier) suite à une plainte déposée par une reprise de justice qui avait été condamnée pour trafic de drogue devant le TGI de Nice.

En réalité, ce qui fut reproché à Rachid MABED, c'est d'avoir dénoncé publiquement les multiples agressions racistes de la police dont l'assassinat de L'Algérien, Monsieur LOUCIF Abderrahim (né le 3 Mars 1963 à Constantine, Allah Irahmou) par une balle tiré sur la nuque par un policier dans le centre de rétention de Nice.

Un Arabe est tué comme un chien par un membre des forces de l'ordre supposé le protéger et il a été envoyé dans un cercueil en Algérie comme de la marchandise.

Voilà ce qui a justifié que dans le pays dit des droits de l'homme, un innocent soit condamné sans aucune preuve et par simple déclaration d'une trafiquante de stupéfiants mais sur ordre du patron de la police nationale, le commissaire truand Pierre PETITJEAN.

Cette injustice a pu être réalisée grâce à la connivence de magistrats corrompus, d'un procureur mafieux et d'avocats félons dont Khaled BOURAYOU, qui a trahi honteusement un compatriote.

Pire que cela, Rachid MABED a été condamné alors que son innocence était connue de la justice dés le début de l'affaire et qu'il détient encore à ce jour, les preuves de son innocence qui resteront un boulet contre ces Magistrats truands qui ont déshonnoré la justice Française et la corporation dont ils font partie.

Nous avons la preuve concrête que le président Jean Michel MALATRASI a collaborer dans une association de malfaiteurs à la tête de laquelle se trouvent des juges corrompus.
Les abus de pouvoir indiscutables de ce juge furent multiples et variées, ils demeurent inacceptables pour la morale. Les autorités judiciaires doivent sanctioner ce juge mafieux .
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