La magistrature corrompue démontre que la France est une République bananière

Un assassinat judicaire raciste commis par des juges mafieux au dessus des lois

COMPLOT
contre MABED
Journal Nice Matin Didier Chalumeau journaliste manipulateur Journalistes mafieux Français

Tentative d'assassinat

Juge Mafieux Jen-Paul Renard

Dérive judiciaire

Juge -Michel MALATRASI Juge Dominique BREJOUX

Affaire MABED

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21 preuves de l'innocence de Rachid MABED

En théorie, aucun justiciable ne peut être condamné malgré des dizaines de preuves de son innocence accompagnées de documents falsifiés. Cependant pour faire taire un militant dérangeant l'ordre raciste établi par un groupe de notables Niçois mafieux, le corporatisme de la magistrature française corrompue, l'a fait impunément.

Le Docteur Rachid MABED a été Condamné pour un viol imaginaire justifié par un certificat falsifié déclaré comme document faux par le médecin traitant supposé l'avoir délivré.

Sous la férule du doyen des juges, Jean-Paul RENARD (radié de la magistrature aprés avoir été confondu par l'inspection des sevices judiciaires dans ses relations mafieuse avec la pègre Italienne), un assassinat judicaire a été commis par des juges malfaiteurs en bande organisée.

C'est tout un ensemble de magistrats, composant la chambre de l'instruction, les parquets ainsi les juges du siège y compris ceux de la cour de cassation, qui a validé de faux document dont ce certificat falsifié.

Une condamnation mafieuse incroyable mais vraie ...

La falsification de ce document médical a été démontrée par Rachid MABED qui a cité le Docteur Lysiane DELFOUR devant la cour d'assises. Ce médecin traitant a nié tout viol devant la police (déclaration du médecin) et elle a confirmé devant la cour que le certificat médical mentionnant son nom avec tampon de son cabinet, est un faux .

A la suite de l'audition de ce médecin traitant, le président Jean Michel MALATRASI, a déclaré: "Donc le certificat médical est falsifié" mais, fort d'une partialité mafieuse, il n'a pas déclanché la procédure d'instruction prévue par l'article 655 du code de procédure pénal actant, de facto, un déni de justice.

L'aticle 655 du CPP obligeant le président de la cour d'assises de suspendre le procés en cours par le déclanchement d'un complément d'instruction visant à comprendre qui a falsifié le certificat médical et quels sont les complices, a été violé avec force.

Cela aurait permis de faire juger les coupables pour faux en écriture publique dont la supposée victime avec la grave circonstance de l'avoir fait dans une procédure criminelle.

La mission des présidents; jean-Michel MALATRASI(1ère instance d'assises) puis de Dominique BREJOUX(en cour assises d'appel), était d'obtenir des jurés d'assises, la condamnation de Rachid MABED.

La vérité judiciaire a été corrompue par des juges voyous qui n'ont d'honneur que l'image médiatique qu'ils donnent de leur personnalité.

Irréprochable la justice Française ? Faites vous une idée sur la base des documents officiels de la procédure ...

Les preuves indiscutables prouvant l'assassinat judiciaire formenté contre Rachid MABED

Pour clouer le bec au gouvernement français, nous lui mettons sous le nez les éléments qui démontrent la participation des magistrats du dossier MABED, dans une association de malfaiteurs en bande organisée.

Il y a eu la concertation de dizaines de juges pour habiller cet assassinat judiciaire en un jugement probe. Ces comparses ont orienté l'action de la justice à des fins mafieuses en utilisant l'appareil judicaire pour régler un compte extrajudiciaire.

la liste de preuves qui suit occultées par la justice, donne une idée sur le vaste système de connivence corporatiste réciproque de la magistrature pour concrétiser ce complot mafieux.

Cette dérive judiciaire fut initiée au TGI de Nice, par les magistrats: Valérie COURTALON (actuel chef de service au ministère de la justice), Jean-Paul RENARD (radié de la magistrature), Christine LORENZINI (impliquée dans un réseau de stupéfiants et de partouzes) et avec l'incontournable connivence du chef des corrompus, le président de la chambre d'accusation d'Aix en Provence, Yves LEBOURDON.

Le procureur de la République, Eric DE MONTGOLFIER, avait publiquement dénoncé les poursuites contre Rachid MABED arguant qu'elles ne sont basées que sur une simple déclaration (donc vide de preuve), a couvert ce complot se joignant implicitement à la magouille des juges corrompus.

En définitive, ce dysfonctionnement judiciaire a atteint son paroxysme car l'esprit mafieux conjugué au corporatisme des juges, a mis en péril l'équilibre judiciaire et le bon fonctionnement de l'institution.

Première preuve de l'innocence de Rachid MABED

1ère plainte déposée pour harcélement sexuel par une employée de l'hôtel

1- Le 04 Novembre 1997, une gourmette en Or a disparu d'une chambre de l'hôtel Médicis de Nice dont le directeur était le Docteur Rachid MABED.

Voulant questionner la femme de chambre en charge du nettoyage, Mme Hadjer DRIDI divorcée de BOUDJEDRA (de nationalité Tunisienne), Rachid MABED constate qu'elle n'est pas à son poste de travail.

Deux jours plus tard, Rachid MABED reçoit en sa qualité de directeur, un certificat d'arrêt de travail d'une durée de 1 mois à savoir du 05 Novembre 1997 au 05 décembre 1997. L'employée s'est mise en arrêt de maladie.

Dés lors, il falait attendre son retour pour organiser un conseil de discipline qui entendra sa version.

2- Le 05 décembre 1997, Mme Hadjer DRIDI alias BOUDJEDRA, arrive au travail avec 3 heures de retard, croyant que l'affaire de la gourmette était close.

Le directeur, Rachid MABED, lui demande de retourner chez elle tout en lui indiquant qu'elle sera convoquée pour un conseil de discipline.

Elle refuse catégoriquement de quitter l'hôtel et ce, en présence du réceptionniste Italien ainsi que d'un chef d'entreprise présent pour effectuer des travaux de rénovation au sein des hôtels.

Le Directeur compose le 17 sur le téléphone de l'hôtel Médicis pour joindre la police Nationale afin de la faire partir.

Sachant qu'elle fut condamnée en 1992 par le TGI de Nice, pour trafic de drogue, elle quitte l'hôtel pour éviter l'arrivée de la police.

Depuis ce jour, Mme Hadjer DRIDI divorcée de BOUDJEDRA, ne rencontrera plus Rachid MABED au sein de son lieu de travail...

L'affaire est close Pour le directeur Rachid MABED, qui devait organiser un conseil de discipline sur ce problème.

3- Bien que connue des services de police, le 16 décembre 1997, la plaignante, Mme Hadjer DRIDI, dépose une plainte pour harcèlement sexuel devant l'officier de la police judiciaire (Côte de procédure D 37).

Vous constatez sur le procés verbal de police, qu'elle précise : « il n'y a eu ni fellation ni pénétration », (Lire PV de police).

Ce PV de police nous confirme que dés son 1er dépôt de plainte ( il y en aura d'autres), cette employée reconnait ne pas avoir subi de viol.

Une enquête est diligentée par la police qui transmet un rapport au parquet de Nice. L'affaire sera classée sans suite normalement.

De sa propre initiative et sans aucune influence, cette dame est reçue seule par un officier de police. Cette plaignante avoue, implicitement, que jamais il n'y a eu de viol car Il n'a jamais été question de viol (lisez le détail).

C'est la 1ère preuve de l'innocence concernant le viol imaginaire

Plus tard , elle ne sera plus fondée à évoquer une autre délit sur son lieu de travail(sans en apporter la preuve) puisqu'elle sera licenciée donc elle ne reverra plus Rachid MABED sur son lieu de travail.

Les magistrats constatent obligatoirement qu'il n'est pas question de viol dans cette 1ère plainte.

Vous avez la première preuve que ces juges sont des truands qui infiltrés la justice pour participer à une association de malfaiteurs en bande organisée.

Deuxième preuve de l'innocence de Rachid MABED

2ème plainte de la femme de chambre, déposée pour harcèlement sexuel et tentative de viol

Ayant constaté que la plainte pour harcèlement sexuel n'a pas aboutie à une mise en examen de son directeur, Rachid MABED, alors la femme de chambre illétrée, va aggraver le délit avec la certitude d'avoir gain de cause.

C'est le Rebondissement qui discrédite la plaignante connue des services de police

Le 12 janvier 1998 soit 1 mois plus tard,l'employée de l'hôtel (qui n'est plus à l'hôtel) va déposer une seconde plainte directement transmise au parquet de Nice dans lequel elle modifie le délit.

Mme Hadjer DRIDI alias BOUDJEDRA ne dénonce plus uniquement un harcèlement sexuel mais elle y ajoute une tentative de viol avec violence, qui aurait été commise sur sa personne par son directeur, Rachid MABED, (Côte procédure n° D 2/3).

Rien ne justifie ce changement de délit sachant qu'entre la première plainte et la deuxième, la plaignante n'a plus rencontré Rachid MABED, son directeur.

Par conséquent, la justice savait la nouvelle plainte contradictoire, discrédite la première car les 2 délits auraient dû être mentionnés dés le premier dépôt de plainte.

En analysant la 1ère et la 2ème plainte, la justice a constaté que Mme Hadjer DRIDI est allée de sa propre initiative au commissariat de police le 16 décembre 1997 pour rencontrer librement, un officier de la police judiciaire et elle n'avait pas évoqué une tentative de viol, ni des menaces de mort.

Les magistrats ont classés sans suite cette 2ème plainte en même temps que la 1ère plainte.

De surcroît, en toute liberté, dans cette 2ème plainte (en lettre recommandée), la plaignante précise: « j'ai refusé de coucher avec lui »,(lire cette 2ème plainte).

Pour faire condamner Rachid MABED et la juge Christine LORENZINI, a tenté de couvrir avec le tampon du tribunal, la phrase de la plaignante qui expliquait qu'elle n'a pas couché avec le Docteur Rachid MABED.

Encore une magouille de la part de la juge LORENZINI, qui reste impunie. Lisez la manoeuvre.

Pour la deuxième fois consécutive, la femme de chambre reconnait ne pas avoir subi de viol.

Dans la logique humaine, il est impossible qu'une personne qui ait fait l'objet d'une tentative de viol avec violence, se soit déplacer librement le 16 décembre 1997 (elle n'a plus rencontré son directeur depuis cette date) dans un commissariat et dépose une plainte sans évoquer le délit de tentative de viol, qui l'aurait traumatisé.

Il est une évidence que ces 2 déclarations faites devant les autorités judiciaires, sont contradictoires et elles précisent qu'il n'y a jamais eu de viol de commis.

C'est la deuxième preuve indicutable de l'innocence sur le viol imaginaire

Cependant, ce qui est surprenant, c'est que malgré deux plaintes dans lesquelles il est mentionné que jamais il n'y a eu de viol, M. MABED a été condamné pour un viol fictif.

Les juges constatent obligatoirement que la plaignante n'évoque pas de viol ni dans sa 1ère plainte ni dans sa 2ème plainte mais ils prononcent une condamnation pour viol.

Vous avez la deuxième preuve que ces juges sont des truands qui infiltrés la justice pour participer à une association de malfaiteurs en bande organisée.

Troisième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Cette troisième preuve consiste sur le fait que l'employée plaignante a déposé une 3ème plainte dans laquelle elle maintient uniquement au harcèlement sexuel rayant de facto la supposée tentative de viol imagimaire.

Le récapitulatif suivant va vous démontrer que cette plaignante qui est une reprise de justice (condamnée pour trafic de stupéfiant par le TGI de Nice), multiplie les déclarations en parfaite contradiction les unes des autres.

- 1ère plainte de Hadjer DRIDI alias BOUDJEDRA contre Rachid MABED, pour Harcèlement sexuel

La femme de chambre de nationalité Tunisienne, Mme Hajer DRIDI, a déposé 1 plainte pour harcèlement sexuel, le 16 décembre 1997 mentionnant devant l'officier de police judicaire qu'il n'y a eu ni de pénétration ni de fellation.

Donc, elle confirme ne pas avoir été violée.

- 2ème plainte de Hadjer DRIDI alias BOUDJEDRA pour délit de harcèlement et tentative de viol

Elle dépose une 2ème plainte le 12 janvier 1998, pour un délit de harcélement sexuel, de tentative de viol et de menace de mort.

Ces 2 plaintes étant contradictoires, le parquet de Nice, les a classés sans suite.

Une nouvelle fois, elle confirme ne pas avoir été violée.

- La 3ème plainte de l'employée est un harcèlement séxuel mais qui ignore la tentative de viol

Le 21 janvier 1998, elle envoie par lettre recommandée avec accusé de réception(HCR du 21/01/98 annexé au dossier), une plainte au parquet de nice avant saisine du conseil des prudhommes de Nice tout en transmettant une copie à la direction de l'hôtel.

Mécontente que son directeur soit toujours en poste parce qu'aucune suite judiciaire n'a été donnée à ses 2 plaintes, l'employée de l'hôtel poursuit sa cabale avec le soutien de la police qui entre en lice suite à une agression policière que Rachid MABED a dénoncé publiquement.

En effet, cette femme est connue des services de police pour avoir été condamnée pour trafic de drogue en 1992, en compagnie de son frère Khaled DRIDI.

Illétrée, la police qui voulait avoir la peau de Rachid MABED, n'a pas eu de mal pour en faire une indicatrice de police et la menacer pour qu'elle suive les indications.

Avec l'aide du Patron truand de la police nationale, Pierre PETITJEAN et du préfet raciste, Xavier De FURST, qui avaient leurs comparses mafieux au tribunal de Nice, Mme Hadjer DRIDI va poursuivre impunément sa démarche mafieuse.

Dans cette 3ème plainte de Mme Hadjer DRIDI, elle fait de nombreuses déclarations qui s'avéreront devenir des preuves incontournables de l'innocence de RACHID MABED.

Il est fait état de vexations, de menaces et de harcèlement sexuel mais il n'est plus question de tentative de viol.

La contradiction se démontre par le fait que dix jours auparavant, cette employée avait déposé une plainte devant le procureur de la république de Nice pour tentative de viol avec menaces.

Encore une nouvelle contradiction que la justice étouffe dans son instruction.

Pour la 3ème fois en trois mois, elle confirme ne pas avoir été violée.

C'est la troisième preuve indicutable de l'innocence concernant le viol imaginaire

La justice a constaté que sur 3 plaintes déposées par la plaignante, aucune ne mentionne un viol donc elle a la 3ème preuve indiscutable que Rachid MABED n'a jamais commis de viol.

Comme, cette employée ne travaillera plus avec Rachid MABED qui l'a renvoyée, donc l'accusation de viol ultérieur ne peut pas juridiquement être recevable sans preuve ADN ou concrêtement démontrées.

Comment expliquer que l'accusation future dont le mensonge énorme, est démontré dans le dossier pénal, n'ait pas donné lieu a des investigations sur pas attirer l'attention de magistrats chevronnés ?

Les juges d'instruction corrompus, Christine LORENZINI et Jean Paul RENARD, ont obligatoirement remarqué que la plaignante n'évoque pas de viol ni dans sa 1ère plainte ni dans sa 2ème plainte ni dans la 3ème plainte mais ils renvoient Rachid MABED devant une cour d'assises pour viol.

Tous les magistrats de la cour d'appel d'Aix en provence, ceux de la cour de cassation et les procureurs des différents parquets de la région, qui ont eu a se prononcer sur ce dossier, sont des crapules et des salopards.

Un jour, ces magistrats finiront par être jugés par une cour d'assises car ce sont des malfaiteurs voyous qui se cachent derrière une robe de magistrat...

Quatrième preuve de l'innocence de Rachid MABED

4ème plainte déposée aux prudhommes pour licenciement abusif suite à un harcèlement sexuel

Comme Mme Hager DRIDI alias Boudjedra, n'a pas réussi à mettre en examen son employeur malgré 3 plaintes consécutives et contradictoires, elle l'assigne devant le conseil des prud'hommes de Nice, pour le 05 février 1998.

Dans ses conclusions, elle évoque une rupture de contrat à compter du 05 novembre 1997 sous prétexte d'un harcèlement sexuel et elle réclame des indemnités s'élevant à 60.000€ (soixante milles).

La voleuse de l'hôtel devenue victime de licenciement abusif, demande le paiement de ses salaires depuis le 05 novembre 1997.

Cette demande confirme catégoriquement, que depuis cette date, Hadjer DRIDI alias BOUDJEDRA, n'a plus travaillé au sein de l'hôtel et qu'à cette date, elle a bien été renvoyée.

C'est la 4ème preuve que Rachid MABED ne pouvait pas la violer en décembre 1998.

En effet, dans le référé transmis au Conseil des Prud'hommes, elle précise, à juste titre, qu'elle était en maladie dès le 04 novembre 1997 pour dépression nerveuse jusqu'en mars 1998.

Comment peut-elle expliquer qu'elle a été victime d'un viol sur les lieux de son travail en date du 04 décembre 1997 (date changée en cours de route au 05 décembre 1997 et certificat mentionnant le 05/12/1998)?

la justice accepte les changements de dates avec aisance, les falsifications et malgré les preuves des déclarations mensongères, elle condamne en cour d'assises, SVP.

D'ailleurs, l'astuce de la juge crapule et mafieuse, Christine LORENZINI, est de refuser toutes les demandes d'actes de procédures qui viseraient à contredire la plaignante sur sur ses propres déclarations.

Pire, cette magistrate salope, a fait disparaitre l'agenda de Rachid MABED que la police a récupéré lors de sa perquisition.

La juge Christine LORENZINI, devrait être jugée par une cour d'assises et condamnée à perpétuité, pour avoir utilisé son pouvoir afin de détruire (par méchanceté mafieuse) volontairement, un homme, sa famille, ses enfants et son entreprise.

Dans cette 4ème plainte abusive, l'employée d'hôtel a commis un outrage à magistrat, elle a engagée une procédure sur la base de déclaration mensongère et toujours dans le but de nuire à Rachid MABED.

Comment une illétrée étrangère, peut-elle être à l'origine d'un tel scénario macchiavélique, si elle n'avait pas le soutien de la mafia local nicoise ?

A Nice, le mensonge a trouvé une oreille conciliante devant les juges corrompu du tribunal et aujourd'hui, plusieurs documents officiels dont des plaintes contradictoires, des procés verbaux de police, des rapports d'expertises, le mémoire déposé devant les prud'hommes, prouvent que la plaignante n'a jamais été violée et qu'elle n'était pas au travail le 04 décembre 1997.

De nombreuses preuves de l'innocence de Rachid MABED dans les conclusions prud'hommales

La plaine déposée par l'employée de l'hôtel devant le conseil des prud'hommes de Nice, est riche en enseignement car si les magistrats n'avaient pas été des corrompus, la plaignante serait immédiatement incarcérée pour déclarations mensongères.

Vous verrez que les conclusions déposées devant les prud'hommes, constituent pour Rachid MABED une fourmillière de preuves de son innocence que les juges truands ont occultées.

Cinquième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Le complot pour pédophilie qui tombe, pour déclaration reconnue mesongère par le parquet

La femme de chambre de l'hôtel, Mme Hager DRIDI alias, a épuisé tous les recours possibles pour faire sauter de son poste de directeur de l'hôtel, Rachid MABED.

1- Sa 1ère plainte pour Harcèlement sexuel a été classée sans suite par le parquet de nice.

  1. 2- Sa 2ème plainte pour délit, de harcèlement et tentative de viol, a également été classée sans suite par le parquet de Nice.
  2. 3- Sa 3ème plainte de l'employée est un harcèlement séxuel mais qui ignore la tentative de viol, n'a vu aucune suite donnée par le parquet de Nice.
  3. 4- Sa 4ème plainte déposée aux prudhommes pour licenciement abusif suite à un harcèlement sexuel et réclamant 60.000€ (soixante milles), n'a rien donnée devant cette juridictioe.

Entre temps, dans le cadre de ses activités militantes pour la défense des droits de l'homme, Rachid MABED a fait avorter, une magouille policière qui est à l'origine de l'incarcération de l'Universitaire Algérien, Miloud BENCHIHA.

Rachid MABED a dénoncé médiatiquement tout en créant un comité de soutien, un débordement de la DST qui a impliqué dans une affaire de terrorisme, un innocent algérien Miloud BENCHIHA qui a eu le tort de porter le nom d'un émir Algérien du GIA.

Miloud BENCHIHA a été libéré avec une telle célérité que la police nationale en a pris un coup et que l'avancement escompté par le commissaire Pierre PETITJEAN, est tomné à l'eau.

De façon officiellle, le patron de la DST a appelé Rachid MABED sur son portable pour le menacer de représailles.

La cabale menée par le directeur départemental de la sécurité publique, le commissaire Pierre PETITJEAN, à travers celle qui a été condamnée pour trafic de drogue, est lancée pour l'incarcération de Rachid MABED.

Voilà ce qui justifie que l'employée illétrée, se lance de nouveau dans des procédure judiciaires qu'elle ne comprend pas.

une 5ème plainte va être déposée par le biais de cette employée d'hôtel manipulée par la police qui a pris le relai au niveau de ses comparses mafieux qui siègent au parquet de Nice.

5ème plainte déposée pour pédophilie et une nouvelle stratégie judiciaire de la plaignante

Mme Hadjer DRIDI BOUDJEDRA, dépose une plainte pour viol commis sur sa fille, Nora BOUDJEDRA, qui était âgée de moins de 15 ans.

Rachid MABED est accusé d'avoir violé sa fille, Nora BOUDJEDRA, à plusieurs reprises au sein de l'hôtel où travaille la maman qui est femme de chambre dans ce même hôtel.

La description faites par BOUDJDRA NORA, sur son supposé viol, est insoutenable, puisque cette mineure, va déclaré que non seulement, elle a été violée, mais elle a subi des fellations régulières avec éjaculation sur le visage et plusieurs sodomies.

Un médecin légiste va expert Nora BOUDJEDRA et il va conclure que cette gamine a bien été sodomisée à de multipes reprises.

Nous verrons que les réponses données par la mère de la mineure à savoir Hadjer DRIDI alias BOUDJEDRA, aux question du médecin PatricK OHAYON, vont finir par devenir des preuves indiscutables pour l'innocence de Rachid MABED.

L'interpellation matinale de Rachid MABED en son domicile

Sur la base des accusations de pédophilie portées par l'employée de l'hôtel contre son directeur Rachid MABED (qui l'a licencié), la brigade des moeurs l'interpelle.

Rachid MABED a été mis immédiatement en garde à vue par la brigade des moeurs et une perquisition a été faites en son domicile en présence de ses enfants qui l'ont vu avec des menottes (4ans et 5 ans), en fin de soirée dans des conditions insultantes.

Acompagné par 3 policiers dont l'officier MOSCHETTI (trés courtois, impartial et professionnel) un membre de la police a tenu des propos racistes inadmissibles qui ont révoltés Rachid MABED.

Tout en étant menotté dans la voiture qui le ramenait dans sa cellule de garde à vue, Rachid MABED a promis à ce policier, que tôt ou tard, ses déclarations racistes seront publiées.

L'agent de la police Nationale, Pierre ROSSI dont il s'agit, a déclaré à Rachid MABED, "Pourquoi tu ne retourneS pas dans ton pays, regarde comment on y est bien la bas. Les Algeriens s'égorgent entre eu comme des moutons et pourvu que cela dure, etc ...".

je certifie sur l'honneur que cela est véridique et que le policier Pierre ROSSI n'a eu de cesse de déverser sa haine raciale sur Rachid MABED (qui était totalement innocent) en le tutoyant.

La plainte de pédophilie classée sans suite car Nora BOUDJEDRA est confondue dans ses mensonges

Nora BOUDJEDRA accuse Rachid MABED de multiples viols sur sa personne alors qu'elle ignore que ce dernier est enseignant à l'université de Cannes, de Nice, de Nice sophia antipolis et à l'école supérieure de commerce.

La date que Nora BOUDJEDRA a choisie pour les accsuations de viols et dont elle est formelle, correspond à une date ou Rachid MABED enseignait à 80 km de Nice en amphithéatre devant 250 étudiants.

La mineure a reconnue avoir menti (PV de Police), et la police arrange la sauce en lui faisant dire que c'est pour aider sa mère qu'elle a menti.

Le parquet de la juge truande, Valérie COURTALON Porte (substitut du procureur de Nice en 1998), mettra 2 mois pour classer sans suite cette affaire.

Valérie COURTALON était enragée de voir que l'affaire de pédophilie a été avortée mais elle se distinguera dans l'abus de pouvoir mafieux.

La logique judiciaire veut que la garde à vue soit levée puisque le délit pénal qui en est à l'origine, est définitivement écarté.

La substitut du procureur de Nice, valérie COURTALON, décide de prolonger la garde à vue afin de permettre à la maùan de Nora de déposer une nouvelle plainte de viol mais cette fois ci sur sa propre personne et sans aucune preuve. Nous détaillerons cette plainte par la suite.

Non seulement, c'est un acharnement judiciaire, un abus de pouvoir mais surtout un cate mafieux de la part de ce substitut valérie COURTALON.

Comment peut-elle réouvrir 3 plaintes classées sans suite par son supérieur hiérarchique ( procureur adjoint Gravereau) alors qu'elles sont carrément contradictoires et mensongères, pour valider un dépôt de plainte pour viol fictif qui se base sur une simple déclaration ?

La complicité de la mère dans l'accusation de pédophilie avortée, étouffée par le parquet

l a été incarcéré à la prison de Nice, (procès verbal n° 11134 du 28 avril 1998).

Les éléments recueillis dans le dossier de pédophilie, montre que la maman a bien été complice des accusations portées par sa fille.

A titre d'exemple, la maman déclare que M. MABED a violé sa fille durant l'été 1997 alors qu'elle ne pouvait pas ignoré avoir mis sa fille dans l'avion pour passer 3 mois de vacances en Tunisie durant le mois de juillet Août et septembre 1997.

Ce mensonge est ressorti à travers le fait que sa fille avait une mesure de surveillance AMO et aussi suite à des déclarations antérieures concordantes avec celle de sa fille.

Voilà des éléments qui accablent les magistrats truands qui ont fait condamné le Dr Rachid MABED qui a été innocenté de cette accusation de pédophilie montée maldroitement par la mafia, (classement sans suite du parquet de Nice).

Sixième preuve de l'innocence de Rachid MABED

  • Le 04 novembre 1997, Mme DRIDI alias BOUDJEDRA a quitté son lieu de travail pour ne pas répondre sur le vol d'une gourmette en OR dans une chambre d'hôtel dont elle avait la charge de l'entretien.

Dans l'espoir de temporiser, elle se rend chez son médecin traitant qui lui délivre un certificat d'arrêt de travail qui prend effet à compter du 05 novembre 1997 et se termine le 05 décembre 1997.

Ce certificat médical est remis à la CPAM et une copie est réceptionnée à l'hôtel Médicis, par son employeur, Rachid MABED qui le classe dans le dossier personnel de l'employée.

  • son retour le 05 décembre 1997, Rachid MABED lui intime l'ordre de quitter son travail dans l'attente de la tenue d'un conseil de discipline.

Mme Hager DRIDI refuse de quitter les lieux et immédiatement devant témoins, le directeur, Rachid MABED, formule le 17 (du combiné de l'hôtel Médicis) pour que la police nationale intervienne.

A la suite de ce renvoi, l'employé dépose une 1ère plainte pour harcélement sexuel, puis 1 mois plus tard, une 2ème plainte pour harcélement sexuel avec tentative de viol et 6 mois plus tard, une 3ème plainte pour viol.

Elle déclare que le jour où elle a été renvoyée à savoir le 04 décembre 1997, elle venait d'être victime de viol qu'elle justifie par la production d'un certificat d'arrêt de travail reconnu falsifié par le médecin supposé l'avoir produit.

La cinquième preuve indicutable de l'innocence sur le viol imaginaire

Qui peut croire qu'un employeur qui aurait violé sa femme de chambre sachant que la preuve ADN serait immédiatement recueillies, puisse appeler la police nationale pour faire partir sa victime présumée de viol, de son lieu de travail, par la force de l'autorité policière ?

Pourquoi la justice a refusé la demande d'acte de procédure qui prouverait que la police a bien été appelée, ce jour là.

La juge corrompue, Christine LORENZINI ( impliqué dans des partouzes et un trafic de drogue), a refusé d'entendre les témoins présents ce 05 décembre 1997 et qui pouvaient démontrer que le problème entre Rachid MABED et son employée fut d'ordre professionnel et non pas sexuel.

le chef d'entreprise présent, a confirmé cela devant la cour d'assises mais le président voyou, MALATRASI Jean Michel, a magouillé avec force pour une condamnation.

Les juges savaient que la plaignante n'avait pas évoqué un viol lors du dépôt de ses 2 plaintes précédentes et qu'aussi, ce 05 décembre 1997, il n'en était pas question.

Voilà pourquoi la juge libertine et corrompue, Christine LORENZINI, a refusé la vérification qui aurait contrarié, sa magouille mafieuse.

Tous ces juges sont des crapules, des corrompus, des truands, des salopards, des mafieux et de grosses merdes qui polluent la justice.

Septième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Septième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Il a été découvert que la supposée victime de viol a produit à la justice un certificat d'arrêt de travail falsifié et antidaté, (Côte n° D 156).

Non seulement nous avons deux écriture différentes mais le début de l'arrêt de maladie (05 décembre 1997) est postérieur à la fin de l'arrrêt de maladie. C'est à dire que la patiente est rétablie avant d'être en arrêt de travail.

La preuve de la volonté de falsification, se trouve dans plusieurs explications:
  1. La date du 05/12/98 a été répétée deux fois donc cela ne peut pas être une erreur. Il fallait écrire 05/12/97.
  2. Le médecin traitant, reconnait a reconnu devant la cour d'Assises que ce n'est pas son écriture.
  3. Le médecin a refuté les accusations de viol sur procés verbal de police (Coté D9).
    c'est normal sinon le médecin aurait fait suivre à sa cliente, une procédure habituelle qui consiste à envoyer, immédiatement, sa cliente faire des prélèvements sous le contrôle de la médecin légale.
  4. En admettons que c'est la même écriture, la mémoire humaine peut dans certains cas reprendre une date antérieure par habitude comme lorsque nous passons au début d'une année nouvelle mais jamais reprendre mécaniquement une date future comme c'est le cas.
    Exemple: aujourd'hui (en 2011) on peut ecrire mécaniquement par erreur 2010 mais jamais 2012.

C'est un délit pénal grave de conséquence pour M. MABED. En vertu des articles 441.1 et 4441.7 alinéa 1 du code de procédure pénal, la plaignante est passible de 3 ans de prison ferme et de 300.000 Francs d'amende.

Lorsqu'une personne se déclare victime d'agression, elle n'a pas besoin de produire un document falsifié pour justifier sa plainte mais de réelles constatations.

 

Huitième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

huitième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Alors que la plaignante a déposé une nouvelle plainte pour viol, contradictoire avec les précédentes plaintes, la brigade criminelle lui a demandé pourquoi n'a- t-elle pas évoqué ce viol lors du dépôt de ses plaintes pour harcèlement sexuel ou tentative de viol.

En effet, elle avait précisé devant l'officier de police qu'il n'y avait eu ni fellation ni pénétration donc de la simple drague.

Pour se justifier du fait de ne pas avoir évoqué un viol dans ses plaintes précédentes, la plaignante déclare que c'est son médecin traitant, le Docteur Lysiane DELFOUR, qui lui a demandé de déposer plainte pour viol ( procès verbal du 28 avril 1998, Page 3, Côte D3 ).

Interrogé par la police, le médecin traitant a démenti cette version des faits sur procès verbal de police ( Côte D9, procès verbal du 29 avril 1998 ).

Par la suite, le Docteur DELFOUR va confirmer de vive voix devant les jurés de la cour d'assises d'Appel de DRAGUIGNAN, qu'il n'a jamais été question d'un viol.

La justice a la preuve indiscutable que la plaignante a mentie lors du dépôt de sa plainte pour viol. L'innocence de M. MABED était là une vérité absolue !

Neuvième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Neuvième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Toujours sur ces accusations de viol, la supposée victime explique avoir été chez son médecin traitant qui aurait fait les constations d'usage.

La plaignante a remis un certificat d'arrêt de travail qui s'est avéré falsifié et antidaté, (Différent de celui des constations médicales) ?

Peut-on juridiquement envoyé un innocent en prison sans preuve matérielle, sans indice formel, sans témoignage direct, sans confrontation sur le fond du dossier et surtout sans certificat de constatation du viol ?


Pourquoi la justice n'a pas diligenté une expertise légale pour faire des constations sur le présumé viol ?

Pourquoi aucun psychiatre n'a expertisé la plaignante dont les éléments de la procédure démontrent d'énormes contradictions énormes pour ne pas parler de mensonges ?

Dixième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Dixième preuve de l'innocence de Rachid MABED

¨ Devant l'expert médical la mère a déclaré en sa qualité de tutrice légale, qu'en ce qui la concerne personnellement, elle n'a jamais été pénétrée par M. MABED confirmant les déclarations de la première plainte qu'elle avait déposée et qui était désormais classée sans suite.

¨ Naturellement, Mme Hager DRIDI, pensait que l'accusation de sa fille suffisait pour faire condamner Monsieur MABED de pédophilie donc le jeter en prison.

Cependant, outre le fait que la mineure était vierge, cette dernière a été confondue lors de la confrontation et a reconnu le 28 avril 1998 qu'elle a menti.

L'affaire de pédophilie était classée sans suite donc terminée

Onzième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Onzième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Le 21 janvier 1998, la plaignante envoie un courrier RADAR dans lequel elle indique qu'elle a été victime d'un simple harcèlement judiciaire, ( HCR du 21/01/98 annexé au dossier ).

Cette multiplicité de plaintes conjuguée à de nombreuses contradictions aurait du alerté la justice sur le fait qu'il ne peut pas avoir eu de viol pour lequel M. MABED été condamné.

Il est surprenant que la justice n'a pas fait de vérification sur la santé mentale de cette plaignante qui déclare tout et son contraire mais dans plusieurs documents.

L'innocence de M. Rachid MABED devient une lapalissade.

Douzième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Douzième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Dans la procédure prés des prud'hommes de Nice, nous relevons d'autres déclarations qui ont été vérifiées et qui ont démontrées que la plaignante a encore menti.

Mme Hager DRIDI déclare dans son mémoire déposée prés du conseil des prud'hommes : « l'inspection du travail ainsi que l'ANPE, ont d' ailleurs été saisies de nombreuses réclamations à l'encontre des curieuses pratiques de MABED », ( Assignation en référé du 05 février 1998, page 2 ).

Sur procès verbal de police, Monsieur Renaud ALDUINI de l'ANPE, indique, je cite : « il n'y a aucune trace de plainte de personnel ayant pris contact avec Monsieur MABED », ( Procès verbal n° 98/11111/10, côte de procédure D 11 ).

Voilà une nette contradiction qui illustre, encore une fois, le mensonge éclatant de Mme DRIDI alias BOUDJEDRA.

La justice n'a pas fait profiter Monsieur MABED de cette contradiction qui vient se greffer au puzzle de son innocence.

Treizième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Treizième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Toujours dans la même assignation de M. MABED pour l'audience du 05 février 1998 devant le conseil des prud'hommes, La plaignante a déclaré, je cite : « Monsieur MABED m'affectait soit disant dans le cadre de sa société personnelle à l'hôtel de BERNE ainsi qu'au nettoyage de locaux privés de sa société », ( Assignation, page 2 ).

En clair, Mme DRIDI tente de faire croire à la justice que M. MABED a commis un délit de conflit d'intérêt.

Elle subodore qu'en sa qualité de directeur des 2 hôtel, M. MABED utilisait les employés de ces hôtels pour le compte de sa société personnelle qui aurait alors encaissé des factures pour des travaux effectués par le personnel des hôtels.

Sur procès verbal de police, Mme Arlette LAUGENIS épouse WOODALL, gérante de l'hôtel de BERNE, déclare devant la police , je cite : « Je ne connais pas de femme de chambre du nom de DRIDI », ( procès verbal n° 99/21/6 ).

Il est confirmé que cette Plaignante a encore une fois menti à la justice. Face à ce nombre considérable de contradictions étouffées, le problème du dysfonctionnement de la justice ne s'évalue plus en terme de faute involontaire.

Il s'agit d'un nouveau mensonge qui conforte l'innocence de M. MABED ne fait plus de doute .

Quatozième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Quatorzième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Comme dans cette même procédure prud'homale, Mme DRIDI déclare avoir nettoyé des appartements privés pour le compte de la société personnelle de Monsieur MABED, ( Référé page 2, vu et annexé au procès verbal n° 98/885/4, côte de procédure n° 77/16 ).

Il s'avère que le cabinet de conseil de Monsieur Rachid MABED n'a jamais développé l'activité de nettoyage d'appartements privés.

Par conséquent, il était impossible à Mme DRIDI de donner une quelconque adresse d'appartements privés qu'elle prétend avoir nettoyés.

Si la plaignante disait vrai alors les preuves qu'elle pouvait apportées pour contrer M. MABED, auraient été de donner les adresses des appartements privés qu'elle déclare avoir nettoyés.

Ainsi, il aurait été facile pour la justice de vérifier par l'audition, sur commission rogatoire, des propriétaires d'appartements.

Ensuite, la justice aurait pu faire des vérifications comptables de la société et constater que jamais un client privé n'a réglé une facture pour nettoyage.

Cela n'a pas été fait car la vérité aurait vite éclatée. Nous somme en présence d'une pure invention qui démontre que l'innocence de M. MABED ne fait plus de doute.

Quinzième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Quinzième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Lorsque Mme DRIDI dépose sa 1 ère plainte pour harcèlement sexuel devant l'officier de la police judiciaire, elle précise que son concubin, M. M' Saddek BELHABIB était témoin du harcèlement le 04 décembre 1998 à l'hôtel, (côte de procédure n° D 37).

M. BELHABIB est un repris de justice notoire et avait déjà été condamné par le tribunal de grande instance de Nice dans une affaire de stupéfiants ou était impliquée Mme Hager DRIDI.

M. BELHABIB ne pouvait pas être à son poste de travail le 04 décembre 1997 pour 2 raisons essentielles.

1- L'hôtel qui employait M. BELHABIB était fermé pour travaux depuis le 21 novembre 1997.

Plus aucun employé ne travaillait et il ne pouvait pas y avoir d'exception une semaine après avoir eu un contrôle de l'inspection du travail.

2- Monsieur BELHABIB était en arrêt de maladie depuis plus d'un mois et la caisse primaire d'assurance maladie qui lui versait des indemnités nous l'a confirmé officiellement.

Par conséquent, La plaignante a encore menti et il apparaît que cette mythomanie continue trouve sa justification dans une garantie d'impunité de la magistrature.

Voilà des arguments qui viennent se greffer aux preuves de l'innocence de M. MABED.

Seizième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Seizième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Messaoudi a citée comme étant témoin des harcèlements sexuels classés sans suite Hadjer DRIDI.

Elle est de nouveau citée par Hadjer DRIDI comme témoin du viol commis en novembre 1998.

Puis la plaignante , Mme Hadjer DRIDI, change sa date du viol puisque la justice lui autorise un ajustement pour que le dossier passe bien

Lors de son audition, Mme Messaoudi été témoin d'un viol au mois de novembre 1997 reste bouche bée lorsque La police lui dit qu'elle est témoin du viol pour le mois de décembre 1998.

Coup de théatre dénoncant une combine de la plaignante, qui est tombé dans l'eau !

A la barre de la cour d'assisee Patricia MESSAOUDI a déclaré qu'elle n'a rien vu et qu'elle n'est pas témoin d'un viol.

Tout cela, la justice reste aveugle et ne fais rien pour dénouer le vrai du faux car la date du viol a changé pour passer en Décembre 1997 car à un mois d'écart, ce n'est pas un problème.émoidéclare témoin mois de novembre et Dridi mois de décembre .

Dix septième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Dix septième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Non seulement, Mme Hadjer DRIDI a reconnu devant plusieurs autorités avec quitté définitivement l'hôtel le 04 novembre 1997 aprés que Rachid MABED ait appelé la police pour la voir fuir, mais aucun employé ne travaillait dans cet hôtel fermé pour travaux.

Il ne pouvait pas y avoir d'exception car non seulement il n'y avait pas de travail mais des gtravaux de rénovation étaient en cours effectués par une entreprise privée.

Le chef de cette entreprise, M. ALEX LABANCS, est venu témoigner à la barre de la cour d'assises d'appel, mais les trois magistrats ont eu un problème d'audition sachant que leur mission était de faire condamner Rachid MABED.

Dix huitième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Dix huitième preuve de l'innocence de Rachid MABED

M. Eric DE MONTGOLFIER a déclaré publiquement et devant une salle comble :
 «  Monsieur MABED est détenu sur la base de simple accusation qu'il faut faire vérifier à la barre  ».

Cette déclaration faites par un procureur expérimenté dont la compétence juridique n'est pas discutable, constitue, à elle seule, une preuve incontournable de l'innocence de Rachid MABED.

Eric DE MONTGOLFIER n'a pas pu se faire désigner comme avocat général devant la cour d'assises de Nice (dont l'audience a été reportée, s'il n'avait pas étudié le dossier Rachid MABED avec soin.

En son âme et conscience, ce Procureur de la République a reconnu qu'il n'y avait aucun élément susceptible de justifier des poursuites pénales à l'encontre de Rachid MABED.

Puis devant la cour d'assises d'appel de DRAGUIGNAN, le procureur de la République de Nice, s'est complétement démarqué de sa colllègue, Valérie COURTALON, en déclarant à l'adresse de Rachid MABED:
«  Ce n'est pas moi qui vous ait mis en prison ».

L'ensemble des deux déclarations démontre que Eric DE MONTGOLFIER ne comprenait pas les poursuites lancées contre Rachid MABED.

Il n'y avait aucune preuve matérielle mais que des déclarations contradictoires, de bout en bout de la procédure.

Dix neuvième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Dix neuvième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Lorsqu'un détenu est poursuivi pour un délit criminel, la justice a le devoir d'apporter les preuves de sa culpabilité.

Au regard des détails produit dans ce document, nous avons vu que le dossier est truffé de faux, de contradictions, de magouilles et d'anomalies judiciaires.

1- La preuve incontournable vient des déclarations du procureur de la République de Nice, Eric DE MONTGOLFIER, qui, devant une salle comble, a publiquement, a déclaré:
 «  Monsieur MABED est détenu sur la base de simple accusation qu'il faut faire vérifier à la barre  ».

Cela est très claire pour tout juriste épris de justice et d'équité à savoir qu'avec son expérience immense, Eric De MONTGOLFIER, ne trouve pas d'élément pour faire condamner Rachid MABED.

2- Eric DE MONTGOLFIER se démarque encore une fois de cette procédure inique, devant la cour d'assises d'appel de Draguignan.

En effet, lui ayant rappelé ses propos concernant l'innocence de rachid MABED, il a déclaré simplement:
«  Ce n'est pas moi qui vous ait mis en prison ».

Cela est une seconde confirmation dans la mesure ou lorsque l'on asssocie els 2 déclarations, ce procureur expérimenté, venait d'expliquer à l'assistance que lui n'aurait pas poursuivi Rachid MABED.

Donc, à son avis, Rachid MABED est innocent.

3- A l'appui des poursuite pénales à l'encontre de rachid MABED, nous n'avons:

- Aucun témoin direct d'un viol présumé,
- Aucune preuve ADN,
- Pas de certificat médical de constatation de viol mais un faux certificat,
- La peuve que la plaignante ne pouvait pas être dans l'hôtel ce jour là sachant qu'elle avait ét renvoyée et que jamais elle n'a repris le travail depuis le 05 novembre 1997.
- Une entreprise faisait des travaux de restauration dans l'hôtel et cela prouve qu'il n'y avait pas de travail, aucun clients car la réception était bloquée et que l'hôtel était bien fermé.
- Les déclarations de la paignante devant 5 autorités différentes qu'elle a rencontrée librement et auquel elle a, spontanément, déclaré qu'elle n'a jamais été violée par Rachid MABED.
- La plaignante qui a reconnu vouloir retirer sa plainte contre Rachid MABED expliquant qu'il ne l'a jamais violé.

Il n'y a aucun début de preuves venant accréditer le fait que Monsieur MABED aurait abusé de la plaignante mais que des preuves de son innocence.

Il n'y a aucun indice et aucune preuve matérielle, susceptibles de démontrer la recevabilité de la plainte.

La loi prescrit qu'en cas de doute sur la culpabilité d'une personne poursuivi pour un délit pénal, la relaxe ou l'acquittement est préconisé fortement.

Vingtième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Vingtième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Mme SABBAGH a présenté un document faux qu'elle déclare lui avoir été remis par Monsieur Rachid MABED, pour faire croire qu'elle a travaillé 3 mois au lieu de 8 jours.

Il suffisait d'une simple confrontation pour faire des vérifications indiscutables à l'audience et démontrer le faux et usage de faux.

Les documents URSSAF, les FAX de déclaration d'embauche, les fiches de paie, le solde tout compte et la déclaration sur plainte de Mme SABBAGH, prouvent qu'elle a bien travaillé que 8 jours à l'hôtel avant qu'il ne soit mis fin à sa période d'essai.

La justice a évité la confrontation directe et a condamné M. MABED sur de simples déclarations de la plaignante qui s'avèrent être incompatibles entre elles .

L'article 646 du code de procédure pénal stipule : « Si au cours d'une audience d'un tribunal ou d'une cour, une pièce de la procédure ou une pièce produite, est arguée de faux, la juridiction décide, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties s'il y a lieu ou non de surseoir jusqu'à ce qu'il ait été prononcé sur le faux par la juridiction compétente ».

Cet élément important du dossier est passé sous silence et cela pourrait ultérieurement amener les magistrats à se justifier sur cette bavure.

Vingt et unième preuve de l'innocence de Rachid MABED

A reprendre avec précisions

En attendant lisez la suite des preuves dans leur version simplifiée.

Nous y ajoutons progressivement les pièces justificatives qui prouvent la magouille des juges. La version définitive va nous permettre de faire une action contre la France de façon explosive pour que ce dossier éclate au grand jour.

Ces juges voyous seront jugés par une cour d'assises car leurs places est en prison si avant l'action ils n'interviennent pas pour faire réviser ce procés en extrême urgence.

A bon l'entendeur car Rachid MABED ne lachera pas ce dossier et ces salopards juges ou ces salopes de magistrates devront répondre de leurs magouilles.

Vingt et unième preuve de l'innocence de Rachid MABED

Encore une fois, Mme DRIDI alias BOUDJEDRA, évoque prés du conseil des prud'hommes de Nice, un harcèlement.

Face à ces différentes déclaration concordantes sur des accusations de harcèlement sexuel et qui ont été déposées étalées dans le temps, il est évident que lorsque la plaignante évoque 6 mois plus tard un viol, il s'agit d'un mensonge.

C'est encore l'innocence de M. MABED qui apparaît au grand jour .

Discussion

Pour clore le scénario rocombolesque de cette injustice, les magistrats corrompus doivent se reconnaitre qu'ils ont trop éxagéré car même un illétré, sourd, aveugle et muet, aurait de suite compris que la plainte pour viol était fantaisiste.

En premier lieu, il est utile de rappeler que la plaignante Mme Hadjer BOUDJEDRA (mère de Nora BOUDJEDRA) a été condamnée par le tribunal correctionnel de Nice pour trafic de stupéfiants et que le Docteur Rachid MABED a un casier judiciaire vierge.

Au regard de la conspiration qui a abouti à la condamnation de l'innocent Rachid MABED, nous constatons que la justice a fait confiance aux déclarations d'une trafiquante de stupéfiant refutant les cris d'innocence d'un homme au casier judiciaire vierge.

Sachant que les loups ne se mangent pas entre eux, nous remarquons que tous les magistrats impliqués dans ce dossier ne peuvent être que des truands ...

Une étude objective des nombreuses déclarations de viol confuses et contradictoires, toutes faites devant l'autorité officielle française donc devenues indiscutables, aurait de facto confondue la plaignante de fausse déclaration.

Lisez les différentes déclarations suivantes et vous pouvez de suite vous engagez pour faire parti de l'association de lutte contre les dérives judiciaires en france car cela peut demain vous arriver, (Contact).

Première déclaration de viol devant le tribunal

En effet, dans le mêmoire transmis en référé devant le conseil des prud'hommes de Nice en date du 5 février 1998, la plaignante Mme Hadjer DRIDI Divorcée de BOUDJEDRA, a déclaré avoir été violée le 04 Novembre 1998 au sein de l'hôtel, (Conseil des Prud'hommes de NICE, audience du 05 février 1999).

Deuxième déclaration de viol devant l'officier de police judiciaire

Forte des pressions faites par le directeur départemental de la sécurité publique, le raciste Pierre PETITJEAN, la plaignante qui est une reprise de justice pour trafic de stupéfiants, se lâche à dire tout et son contraire.

1- Le 16 décembre 1997, la plaignante Hadjer DRIDI, porte plainte pour harcélement précisant que le Dr Rachid MABEd ne l'a jamais violé, (Voir la plainte de Hadjer DRIDI). Elle a changé par la suite puisque cette plainte classée sans suite, s'est avéré pas la bonne pour la plaignante

2- Le 05

3- Le 05

4- Le 05 février 1998 devant le conseil des prud'hommes, cette plaignante a déclaré avoir été violé le 04 novembre 1998. Elle a changé par la suite de date donc ce n'est plus la bonne date du viol.

5- Le 28 avril 1998, devant l'officier de police, Alain BALERINI, la tunisienne Hadjer DRIDI veuve BOUDJEDRA déclare que le Dr Rachid MABED l'a violé le 21 novembre 1997 dans la cave de l'hôtel et que son témoin est Patricia Messaoudi.

Patricia Messaoudi a déclaré ne pas avoir assisisté à ce viol dans le même PV de police et l'hôtel Choiseuil était fermé pour travaux comme le chef d'entreprise en a témoigné. Elle a changé par la suite de date donc ce n'est plus la bonne date du viol.

6- la suite arrive à grand pas

Cet ensemble d'éléments, constitue une preuve juridique qui démontre que la condamnation de Rachid MABED n'est pas conforme aux règles de droit.

Cette affaire judiciaire que l'on évoque souvent dans les films de fiction, est une réalité qui démontre que la France est une république bananière.

Pourtant, cet attentat judiciaire, a été volontairement formentée, instruite et jugée, par des truands en robe de magistrat qui ont uriné sur la justice.

Ces corrompus encore en fonction, n'ont pas le courage d'attaquer au pénal le Docteur MABED Rachid, de peur de voir, inéluctablement, cette affaire devenir un Scoop médiatique.