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Une conspiration pire que l'affaire des acquittés d'outreau

Chronologie d'une machination programmée par des notables mafieux

Sur la côte d'Azur, des notables truands, jadis décideurs du microcosme politique dans le département et qui avaient la main mise sur les magistrats tribunal, avaient des méthodes radicales pour éliminer les militants actifs qui les dérangéaient.

Le militant pour les droits de l'homme Rachid MABED, qui a eu le courage de dénoncer de nombreuses dérives policières et judiciaires, en a fait les frais au risque et au péril de sa vie.

Pour mieux cerner les tenants et les aboutissants de cette machination judiciaire légalisée par une violation volontaire des lois indiscutables, vous trouverez ci-joint les éléments explicatifs qui s'y rattachent.

LA DESCENTE AUX ENFERS DU DOCTEUR Rachid MABED

Pour justifier la mise en cause des notables impliqués dans la condamnation inique du Docteur Rachid MABED, nous sommes dans l'obligation d'illustrer la chronologie incroyable de sa descente programmée en enfer :

1- Un contrôle fiscal (début 1997) qui a débouché sur un quitus comptable de sa société qui comptait 6 employés...

2- Une procédure pénale abusive a été décidé par le parquet de Nice, pour exercice illégale de la profession de conseil en gestion et pour abus de faiblesse (fin 1997).
Il a été relaxé par la cour d'appel d'Aix en Provence...

3- Une employée de l'hôtel (BOUDJEDRA Hager), condamnée pour trafic de stupéfiants par le TGI de Nice en 1992 et qui fut mise à pied pour vol dépose une plainte pour harcèlement sexuel. Il fallu téléphoner à la police pour la faire partir de son lieu de travail.
Cette employée mentionne dans cette plainte déposée le 05 décembre 1997, ne jamais avoir été violée.
Le procés verbal de dépôt de plainte confirme que suite à ses déclarations, il n'y a jamais eu de viol.
Cette plainte a été classée sans suite par le parquet de Nice pour infraction non caractérisée...

4- Rebondissement surprenant de la part de cette reprise de justice, Hager BOUDJEDRA!
C'est le Rebondissement qui discrédite la plaignante dans ses dépositions contradictoires.
En effet, l
e 12 janvier 1998 soit 1 mois après le dépôt de sa premère plainte, cette employée de l'hôtel (qui n'est plus autorisée à reprendre son travail à l'hôtel) va déposer une seconde plainte en la transmettant directement au parquet de Nice.
Dans sa nouvelle plainte, elle modifie le délit puisqu'elle évoque cette fois-ci, une tentative de viol avec violence (Côte procédure n° D 2/3).
Notons que cette plainte a été déposée librement donc sans menace puisqu'elle l'a envoyée spontanément en lettre recommandée avec accusé de réception.
La plaignante précise: « j'ai refusé de coucher avec lui »,(lire cette 2ème plainte).

Depuis ce dépôt de plainte, Rachid MABED n'a plus rencontré cette personne plaignante.

La juge d'instruction mafieuse, Christine Lorenzini (encore en fonction actuellement) a tenté de cacher cette phrase génante en apposant le tampon du tribunal sur la phrase qui dédouane le Docteur Rachid MABED. Lisez la manoeuvre du juge.
Cette nouvelle déclaration contradictoire de la plaignante, est importante puisqu'elle constitue une preuve qui contredira une déclaration de viol, 5 mois plus tard.
Le parquet a classé sans suite cette seconde plainte qui est purement contradictoire.

5- Un supposé entrepreneur dépose sur le bureau du Docteur MABED une enveloppe d'argent (Février 1998), lui expliquant que c'est sa commission pour les travaux effectués au sein des hôtels dont il était le directeur. Il a refusé avec fermeté cette tentative de corruption.
Par la suite il s'est avéré que le corrupteur est un policier en exercice...

6- Le préfet Xavier DE FURST a fait interné le Docteur MABED durant 11 jours abusivement sur la base d'une expertise imaginaire (février 1998).
La cour administrative d'appel a annulé cette décision pour abus de pouvoir...

7- Une tentative d'assassinat est commanditée à l'encontre du Docteur MABED (Le 14 Mars 1998). Un voyou armé d'un 357 magnum a fracturé la porte de son cabinet et a raté son coup grâce à sa réactivité.
La brigade spécialisée a constaté les faits mais l'affaire fut étouffée...

8- Le Docteur MABED fut interpellé et mis en garde à vue pour viol sur une mineure de 15 ans suite à la plainte deposée par sa mère (Mme BOUDJEDRA Hager née DRIDI). La gamine a avoué avoir menti (lire Procés verbal de police).
Aucune enquête n'a été diligentée pour savoir qui l'a manipulée et quelle fut la responsabilité de sa maman...

9- Au lieu de le libérer après avoir constaté son innocence en matière de pédophilie, la police fait pression sur la mère, Mme BOUDJEDRA Hager (condamnée pour trafic de stupéfiants), qui dépose sur le champ une nouvelle plainte.
Il s'agit d'une simple déclaration de viol sur sa personne etayée par aucun élément de preuve. Hors, le Docteur MABED ne l'a plus revue depuis sa plainte classée sans suite (5 mois plus tôt).
Contre toute attente, cette plainte basée sur une simple déclaration et appuyée par un certificat médical reconnu falsifié par le médecin supposé l'avoir délivré, est validée par le parquet.

Ce dossier pénal aurait dû être classé sans suite durant la garde à vue et jamais le Docteur MABED n'aurait dû être légalement traduit aux assises donc de dépendre de la conviction d'un jury populaire aléatoire. Pour y parvenir, il a fallu que les juges en charge de la procédure, violent copieusement les lois de la république.

D'ailleurs, le procureur de la république de Nice, Eric de Montgolfier, a déclaré le 10 mai 2000 devant une salle comble de cour d'assises des Alpes Maritimes que "Monsieur Rachid MABED est poursuivi sur la base d'une simple déclaration".

Les questions qui se posent:

- Comment expliquer qu'une simple déclaration d'une reprise de justice qui, de surcroît, est contradictoire avec ses 2 plaintes déposées qui ont été classées sans suite par le parquet, puisse traduire en cours d'assises un citoyen au casier judiciare vierge, sans aucune preuve matérielle ni ADN ni témoignage direct ?

- Dans quelle dictature mondiale, une personne est traduite devant une juridiction criminelle suite à une plainte appuyée par un certificat médicale falsifié alors que la plaignante déclare avoir déposé plainte pour viol sur recommandation de son médecin traitant qui la contredit sur procés verbal de police?

- Comment justifier que le Minitère de la justice dont l'inspection des services a bien été saisie par le Docteur Rachid MABED lors de sa venue à Nice dans l'affaire de corruption qui a touché le juge Jean-Paul RENARD, n'ait pas réagi immédiatement au regard du dysfonctionnement indiscutable.

Nous persistons et nous signons, que le Docteur Rachid MABED à fait l'objet d'une instruction partiale uniquement à charge, de 2 jugements dont les présidents ont usé de manipulations.

Qu'il a été condamné pour un viol sur la base d'un certificat médical que la cour d'assises a reconnu comme falsifié.

Cette cour d'assises a refusé de donner acte de ce document qu'elle a verbalement reconnu comme faux afin de ne pas appliquer l'article 655 du Code procédure pénal qui innocente sur le champ le Docteur Rachid MABED.

Nous passons outre, les violations des droits de la défense durant la procédure, les 21 preuves de son innocence encore disponibles, l'interdiction de le laisser parler en dernier en 1ère audience d'assises à Nice (conformément à la loi) et les insultes proférées par le président de la cour d'assises d'appel de Draguignan, qui lui a demandé "de fermer sa gueule" après l'avoir traité de "négrier".

L'avocate du Doteur MABED, Maître Isabelle COUTANT PEYRE, avait d'ailleurs bien eu raison de déclarer à la presse qui publia sa déclaration, que le procès du Docteur MABED était une «ratonade judiciaire».

Lors des procés spectacles, pour justifier une condamnation inique pour viol au regard d'un dossier vide sans ADN ni témoignage ni preuve, un amalgame est fait entre la condamnation injuste du Docteur MABED et les déclarations justifiées de personnes qui dénoncent son comportement autoritaire en sa qualité de directeur (il en faut de l'autorité).

Le Docteur Rachid MABED et ses proches, ne pourront jamais accepter cet assassinat judiciaire qui a chamboulé son existence et d'exiger de lui, qu'il se taise en "prime".

En définitive, le directeur de la publication du site " monstrueuse injustice " ne fait que publier sur une dérive judiciaire avérée dont les faits sont justifiés, vérifiés et prouvés.

Une vérité incontournable avant de quitter ce monde l'esprit tranquille.

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