Il a grandi au quartier de Ben Omar (Kouba - Alger) avec sa famille à 30 mètres du cimetière de Ben Omar.
Visiblement, ce jeune a été traumatisé par tous les enterrements qu'il a vu défiler devant sa maison au point où le respect des personnes plus âgés ne le connait plus.
Ses insultes nous prouvent qu'il est un voyou qui veut faire croire à ses jeunes voisins de Kouba, qu'il a réussi en France alors que sa vie est misérable comme il l'a déclaré sur le mail qui sera publié.
Un jeune qui visiblement a mal tourné et possède un manque d'éducation, évident.
Rachid MABED ne tolérera jamais que son fils puisse insulter Kamel DJILALI quelque soit le conflit existant entre eux.
Il y a des limites que la génétique familiale ne peut pas engendrer et que les parents ne devraient jamais supporter surtout lorsqu'il n'y a pas mort d'homme.
Apparement, la facilité et la réitération redondante d'insultes, dans le discours de Mehdi DJILALI, prouve que ce langage de voyou, est bien ancré dans ses gênes de minable.
Rachid MABED souhaite que son fils Anis n'écoute pas ces insultes car il est certain que Mehdi DJILALI, ne sera pas tranquille à Ben-Omar avec ce document de preuve qui dédouanerait Anis, juridiquement.
Mehdi DJILALI traite avec aisance, de lâche, de merde et de bartard, Rachid MABED, sans connaître la respectabilité de Rachid MABED dans son quartier et de son courage à ne pas se laisser faire.
Les propos tenus sont intolérables mais traiter de bâtard Rachid MABED à savoir que sa mère serait une protistuée, mériterait la mort de Mehdi dans un pays musulmans où personne ne s'amuse pas avec l'honneur de la famille.
En se cachant derrière un téléphone pour proférer des insultes graves, Mehdi DJILALI se confond dans une double lâcheté et un blasphême.
- Celle d'insulter un homme de 60 ans que les jeunes de Kouba ne peuvent pas accepter au regard du respect implicite vis à vis des parents agés.
- Celle de l'hypocrisie car de vive voix, cela se serait terminé dans un commissariat de police sachant que les dégats aurait crée un trouble à l'ordre public évident.
Rachid MABED sait être violent avec la mauvaise graine qui polue l'environement humain.
- Le plus grave est que Mehdi DJILALI s'est permis de maltraiter le Saint Coran en bafouant un verset avec une voix méprisante pour la religon musulmane et une récitation volontairement tronquée.
Nous ne pensons pas que les Algériens toléreraient que Mehdi DJILALI puisse revenir à Kouba impunément et que ses insultes sur le Coran lui soient pardonnées.