Denis CARREAUX ou le membre influent des réseaux occultes racistes

Denis CARREAUX, membre des réseaux occultes, profite de ses relations multiples pour faire la pluie et le beau temps, dans le domaine de l'information.

Plus exactement, il manipule les lecteurs du journal Nice Matin par une désinformation étudiée avec minutie de façon à satisfaire ses relents racistes en surfant sur une vague Islamophobe au moment où la population niçoise vient d'être endeuillée par des barbares qui n'ont rien de musulman.

Il porte atteinte à la mémoire des nombreuses personnes musulmanes victimes du terrorisme aveugle le 14 juillet 2016 à Nice dont une femme agée voilée musulmane en compagnie de ses enfants.

En agressant gratuitement le Docteur Rachid MABED pour des raisons immondes, Denis CARREAUX agit en terroriste proche des méthodes de DAESH puisque le résulat de ses articles va activer une haine chez les adeptes du racisme, ce qui finira par faire surgir des folies meurtrières islamophobes.

Rachid MABED
Docteur es Sciences Université de Nice, (info direct Bibliothèque France)

Denis CARREAUX, le journaliste énergumène de Nice Matin dans oeuvres racistes

L'ennemi de la vérité, Denis CARREAUX, se permet d'agresser gratuitement des innocents parce qu'il ont eu le tort d'être musulmans.

Il ne se pose pas la question de se savoir que personne n'est responsable de sa naissance donc de sa religion d'origine mais que tous les individus sur terre, sont humains avant tout.

Avec la haine viscérale de son ADN, il extirpe de ses tripes son racisme qu'il véhicule par ses écrits publiquement.

Voilà ce qui justifie la validation de Denis CARREAUX pour la publication sur Nice Matin, de la nouvelle agression journalistique contre le Docteur Rachid MABED via l'article cité ci-joint:

Prenez connaissance de cet article truffé de mensonges paru le 21 Février 2017 cliquez ICI

Lisez le droit de réponse refusé par ce journal au Docteur MABED Cliquez ICI

Le journaliste xénophobe Denis CARREAUX dans sa chasse aux arabes

Il est une évidence que depuis sa création en 1945 par feu Michel BAVASTRO, le quotidien Nice Matin a été le journal au service de la pensée politique de droite.

Durant une longue période, il a collé aux idées d'extrême droite et l'ancien Maire de Nice Jacques MEDECIN soutenu par les anciens OAS de l'Algérie Française, a trouvé en ce journal, le relai de sa politique raciste.

Seulement à cette époque, il existait une certaine retenue à ne pas multiplier les agressions gratuites à l'encontre de ceux que l'on détestait même si les publications de haine étaient relayées.

Aujourd'hui, Denis CARREAUX frappe plus fort que tous et il met son journal à la disposition du racisme en faisant attention de ne pas toucher à l'antisémitisme conscient que la communauté juive de France le détruira sur le champ.

Denis CAREEAUX est bien le fils spirituel de cette filiation idéologique exécrable, qui malgré le départ de ces ténors de la xénophobie, continue de véhiculer la haine des hommes de couleur noirs et de l'Arabe en particulier.

Il est donc facile pour Denis CAREAUX de se faire une image de nationaliste français défendant les valeurs de la république, en opérant une confusion totale entre les victimes musulmanes et les terroristes de DAESH, pour conclure que le problème c'est Islam.

La stratégie adoptée est simple à déchiffrer car en faisant des musulmans et des étrangers, des délinquants en puissance, la population niçoise ne peut que se jeter dans les bras de ceux qui les mettent en garde sur le danger potentiel qui pèse sur leur sécurité.

La plume du journaliste raciste Denis CARREAUX en sa qualité de rédacteur en chef du journal, devient surtout politique et il en use et abuse, pour faire sa place au chaud sous l'autel d'un pouvoir occulte.

Ceci expliquant cela, les élucubrations rédactionnelles de Denis CARREAUX finissent par dévoiler ouvertement sa haine qui ne se cache plus derrière une facade de probité professionnelle car il nous pousse à comprendre le sens de sa pensée: "Je suis raciste et alors....".

Concernant les maghrébins, les similitudes sont frappantes sur le traitement des affaires judicaires relayées mensongèrement par Nice Matin.

L'affaire Omar Raddad est une autre illustration de la constante xénophobe de ce journal depuis l'arrivée à la direction de Monsieur Denis CARREAUX.

Naturellement, le conclave quotidien, des journalistes qui entourent ce dernier, est orienté vers la recherche d'une audience qui doit mener insidieusement au discrédit à l'égard des musulmans mis injustement en cause dans des affaires judicaires montées de toutes pièces.

Il faut, dans l'esprit malade de Monsieur Denis CARREAUX, bafouer impunément la présomption d'innocence pour aboutir, coute que coute, à une condamnation médiatique qui viendrait conforter une future condamnation des mis en cause.

Dans l'affaire Omar RADDAD, des éléments plus que troublants devaient lui profiter et conduire vers son innocence car le code pénal précise que le doute dans une affaire de justice, doit profiter à l'accusé.

Le journal Nice Matin ne l'entendait pas de cette oreille et plus de 30 ans après les supposés faits, persiste dans ses relents orduriers.

Sa Une du 29 décembre 2016 sous le quitus de Denis CARREAUX, en est une illustration comparative insensée «Omar Raddad, Dreyfus, Pétain... ces autres condamnés qui ont bénéficié de la grâce présidentielle…».

Cette comparaison des genres n'est-elle pas plus que troublante et n'invite-t-elle pas « à caresser dans le sens du poil“ une frange non négligeable de l'opinion et de la conforter dans ses visions extrémistes et racistes ?

Pour Monsieur Denis CARREAUX, les moyens importent peu car l'ivresse d'une chasse « à l'arabe » justifie toutes les atteintes aux principes universelles des droits de l'homme.

C'est dans cette tendance journalistique inhumaine et intolérable, que vient s'inscrire l'affaire Rachid MABED.

Depuis 1998, le journal Nice Matin n'a pas relâché ses attaques gratuites contre cet homme qu'elle a présenté comme inculte, sans diplôme universitaire mais pervers à l'extrême.

Au lieu d'effectuer des investigations dignes, d'apporter sa contribution honnête et impartiale à l'affaire Rachid MABED, Monsieur Denis CARREAUX, bien au contraire, à poursuivi son chemin de l'arbitraire pour poser sans retenue des écrits condamnatoires tronqués et injustifiables.

Plus de 20 ans après les faits, au même titre que Omar RADDAD et Pire que l'affaire antisémite du capitaine DREYFUS, Monsieur Rachid MABED à eu droit le 21 février 2017, sur une pleine page, à un rappel mensonger de son affaire.

Là, Monsieur Denis CARREAUX vient au secours de son confrère de pensée, le journaleux Didier CHALUMEAU (condamner pour diffamation par la cour d'appelle d'Aix en Provence) qui ne se cache pas d'avoir mis sa plume au service de la police nationale violant, de facto, les fondamentaux de sa profession.

Ce type de soutien au racisme et à une minorité imposante de voyous en robe de magistrat, est devenu une habitude sous l'obédience de ce directeur de rédaction.

L'acharnement gratuit à l'égard du Docteur Rachid MABED qui dispose de 21 preuves de son innocence ne pose aucun problème de conscience à ce responsable de presse.

Les atteintes à l'ordre public, aux fondements de la république Une et Indivisible, sont les ingrédients qu'imposent chaque jour Monsieur Denis CARREAUX, à sa rédaction.

Cette obsession de l'étranger en général et du musulman pacifique en particulier, doit cesser.

Le gouvernement de la république sous l'autorité du président MACRON doit se pencher d'urgence par la loi, sur le cas de Monsieur Denis CARREAUX dont l'impunité encourage une surenchère de division nauséabonde.