Cet avocat corrompu que j'ai choisi pour ma défense en France, est un membre officiel de la DRS qui a été dissoute par le président Abdelaziz BOUTEFLIKA en 2016.

C'est comme cela qu'il est devenu avocat du journal El Watan dont les actionnaires aussi membre de la DRS, qui ont crée ce quotidien avec l'appui incontournable de la direction du renseignement et de la sécurité que dirigeait l'assassin du président Mohamed BOUDIF, le général major Mohamed MEDIENE alias TOUFIK.

Cette institution qui constituait un pouvoir parralèle au pouvoir algérien est supposée défendre dans le monde, les intérêts de l'Algérie et celui de tous ses citoyens.

Comment la DRS a-t-elle pu recruté un avocat malhonnête, prétentieux et sans personnalité pour s'être mis à genoux devant les juges français ?

Sa déclaration qui a déshonnoré la DRS et l'ensemble des algériens en France n'est point discutable tellement elle nous fait encore honte: « C'est avec un grand honneur et un plaisir immense, que je viens aujourd'hui plaider devant votre cour d'assises... Depuis des années, j'ai toujours voulu plaider devant une cour d'assises française. C'était un rêve et c'est devenu une réalité. Je vous remercie de m'avoir permis cela ».

Son patron assassin Mohamed MEDIENE a été déchu ce qui a enfoncé cet avocat véreux dans l'abime des hommes sans pouvoir de nuissance. Aujourd'hui il est redevenu un citoyen normal, justiciable et qui ferait mieux de fermer sa grande gueule médiatique à propos de ses diatribes verbales à l'encontre du président Abdelaziz BOUTEFLIKA, faute de le payer trés cher.

Beni "oui oui" et opportuniste, Khaled BOURAYOU a compris qu'il faut se taire et ne plus jamais agressé verbalement le Président de la République mais de se faire trés petit s'il veut rester au barreau d'Alger encore quelque temps pour continuer à escroquer les clients vulnérables.

En cas d'emprisonnement pour quelques raisons que ce soit, cet avocat va réaliser qu'il est seul et détesté de la profession, lui qui a méprisé ses confrères durant de longues années fort de ses liens avec les généraux déchus aujourd'hui.

Ce pseudo démocrate était de mêche avec le cabinet noir qui a ensanglanté notre pays durant une décennie et à sa tête le général assassin Larbi BELKHEIR qui a usé de son influence pour me faire incarcérer.

C'est la preuve que nous avons été gouvernés par des nuls et Kaled BOURAYOU en est le symbole de cette médiocrité.

Tant que le pouvoir est en place, BOURAYOU Khaled a les garanties qu'il lui faut pour poursuivre sereinement sa mission mais en cas de révolution démocratique, il deviendra le defenseur des futurs justiciables de la dictature. Rachid MABED a rencontré un avocat présumé honnête et probe, mais il ne se doutait pas de faire l'objet d'un règlement de compte téléguidé d'Alger (BOURAYOU Khaled le violeur des lois).Infiltré dans sa défense par l'avocat Khaled BOURAYOU (KGB ou KB) qui est l'homme du pouvoir, c'est le général Larbi BELKHEIR qui a décidé de l'issue du procés de Rachid MABED.

Larbi BELKHEIR, ce voleur et assassin, devrait être déterré du cimetiere de Benaknoun pour que son corps soit dans la salle durant le procés qui décidera de la restitution au peuple algérien, de la dizaine de milliards de dollars volés avec son beau-frère, Hadj Mokhtar LOUHIBI.Que fait la justice Algérienne contre le pillage de fonds Algérien que Hadj Mokhtar LOUHIBI a détourné au peuple Algérien ?

Devant la cour d'assises de Nice, Maître BOURAYOU Khaled a appliqué les directives du général Larbi Belkheir, commanditaire de l'assassinat de Mohamed Boudiaf, pour faire condamner un innocent.

Le nom de Larbi Belkheir refait souvent surface quand on évoque l'assassinat du président Mohammed Boudiaf, le 29 juin 1992, alors même qu'il faisait partie de ceux qui l'ont porté au pouvoir. En 2001, Bensaïd Ahmed Lakhdar, alors secrétaire général de la Coordination nationale des enfants de Chouhada (martyrs), l'accuse ouvertement d' « être derrière » l' assassinat du président Boudiaf dans les colonnes de la presse .

Le même Larbi BELKHEIR, a été accusé, à juste titre, de l'assassinat du président Med BOUDIAF, par son fils Nacer BOUDIAF (lire presse).

Connaissant le statut de Hadj Mokhtar LOUHIBI (qui a les mains rouges du sang des Algériens) comme banquier du général assassin, Larbi BELKHEIR, sa proximité avec lui, son amitié indéfectible, le lien familial qu'il les uni et les rencontres régulières à Nice qu'ils ont eu, on sait qu'il a été dans la confidence de l'assassinat du président BOUDIAF.

Il est évident qu'une partie du GIA a été crée et manipulé par Larbi BELKHEIR afin d'éliminer tous ses opposants politiques durant la décennie noire qu'il a instauré en Algérie.

Ce monstre de Larbi BELKHEIR, qui chouchoute sa fille et ses petits-enfants, n'a eu aucune réticence à faire assassiner Kasdi MERBAH et sa famille, son rival de toujours au sein du pouvoir.

Après l'avoir écarté de l'entourage de Chadli BENDJDID, il a détruit la sécurité militaire de peur que des fidèles de Kasdi MEBAH lui règle son compte et il a pris à son compte l'ensemble des affaires louches de l'état.

Outre la caisse noire de la présidence de la République qui a été pillée à hauteur de centaines de millions de Dollars évaporés, il n'a eu de cesse avec son beau-frère Hadj Mokhtar LOUHIBI, de prendre des pots de vin énormes dans toutes les grosses affaires Algériennes.

Le consultât de Nice puis la côte d'azur, étaient devenus le centre nerveux des affaires nébuleuses où circulaient de l'argent sale que Hadj Mokhtar LOUHIBI blanchissait grâce au concours de ses comparses affairistes, brebis galeuses du Grand Orient de France, qu'il arrosait royalement.

Le peuple Algérien doit savoir que les deux assassins et voleurs, Hadj Mokhtar LOUHIBI est à la tête de plus de 12 milliards de dollars qu'il a éparpillé intelligemment par des experts en gestion du patrimoine Niçois.

Pour ne pas attirer l'attention des services américains qui ont un œil sur les circuits financiers grossiers et les fonds détournés, l'astuce fut machiavélique.

L'argent a été blanchi par des tours de passe-passe économiques et financiers, puis des placements ont été variés dans différents pays avec plusieurs comptes.

Pour réduire le caractère impressionnant du capital global, de l'argent a été placé aux noms des enfants et à celui des petits enfants, pour réduire la part du butin de façon à ne pas paraitre, insolemment riche.

Magouille bien appliqué par ces escrocs que sont Larbi BELKHEIR et hadj Mokhtar LOUHIBI avec la protection prise à travers le bénéfice de la nationalité française acquise par la famille LOUHIBI pour prévoir de ne jamais être extrader en Algerie en cas de procés.

Dés lors les enfants LOUHIBI et BELKHEIR, peuvent jouir des fruits d'une énorme escroquerie financière.

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Khaled Bourayou a trahi ces deux journalistes
• Yazid OUAHIB
• Ouahib Yazid du journal EL-WATAN et son attaitude face à la corruption
• Omar Kharoum Rédacteur en chef du journal El Watan
• Kharoum Omar du journal El-Watan et sa réaction face à l'avocat corrompu Khaled Bourayou

Bourayou Khaled est l'avocat indigne du barreau d'Alger, il est le bidon de la profession qui a trahi son client.
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