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Affaire MABED

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Une affaire pire que celle des acquittés d'Outreau

Le silence complice de l'avocat Khaled BOURAYOU

خالد بورايو الخَائن
Il accepte le renvoi de deux journalistes Algériens de la salle d'audience sans broncher et sans dépôt d'acte de procédure

Ou étiez vous Maître, lorsque la racaille de président Jean Michel MALATRASI a pris nos journalistes pour une association de malfaiteurs?

Bien que vous vous êtes présenté comme étant l'avocat de la presse Algérienne, vous n'avez pas déposé de conclusion suite à la mesure discriminatoire prise contre nos 2 éminents journalistes, Ismail TALLA et Nadir BENSEBAA, qui ont été jetés hors de la salle d'audience comme des malfrats.

Le président de la cour accepte la présence de la presse de façon sélective portant atteinte à l'indépendance de la presse algérienne et vous n'avez pas crée un incident d'audience qui s'imposait à vous dans le but de sauver l'honneur de nos journalistes.

N'est-ce pas bizarre, Maître BOURAYOU sachant que vous êtes le défenseur de la presse libre Algérienne ?

Je vous laisse revivre le déroulement de l'injustice qui a touché nos journalistes algériens renvoyés de la salle d'audience et permettant à la journaliste Française autorisée à couvrir les débats de la cour d'assises, Nicole LAFFONT, de faire la propagante du juge Jean-Michel MALATRASI avec votre complicité.

Nous espérant que Khaled BOURAYOU aurait des remords sur son silence complice et sur le fait que par la suite jamais il n'a dénoncé devant la cour, les articles ignominieux et mensongers de la journaliste Nicole LAFFONT.

L'abus de pouvoir du président Jean Michel MALATRASI accepté par Khaled BOURAYOU

Une mesure discriminatoire raciste et un abus de pouvoir manifeste suite au renvoi de la salle d'audience de deux éminents journalistes algériens alors que la journaliste française est autorisée à assister aux débats de la cour d'assises des alpes Maritimes.

Aveuglé par sa féroce vindicte à l'encontre du Docteur Rachid MABED qui ne lui a rien fait, Jean Michel MALATRASI va déployer son arsenal d'injustice et d'impunité.

Dés sa première intervention, il va commencer par rendre deux décisions partiales contestables à plus d'une titre puisque, outre l'esprit contradictoire qui annime cette mesure, elle est discriminatoire à plus d'un titre constituant une violation de la loi qui annonca la parodie de justice.

Sur demande de la partie civile, le président Jean-Michel MALATRASI décide que la Journaliste Française avait l'autorisation de rester dans la salle pour couvrir les débats et que les deux journalistes Algériens devaient immédiatement sortir de la salle d'audience.

Incroyable mais vrai, Jean Michel MALATRASI décide de virer comme des truands de la salle de la cour d'assises, deux journalistes acrédités par les 2 plus grands quotidiens Algériens et il autorise dans la foulée, la présence de la journaliste du journal régional Nice Matin.

Les deux journalistes, Nadir BENSEBAA et Ismail TALLA, ont été priés de quitter la salle d'audience alors qu'ils étaient officiellement missionnés par leur journal.

En matière de droit, le président devait se prononcer simplement sur le fait de savoir si la presse est autorisée à couvrir les débats de la cour d'assises.

Et rien d'autre.

Soit que tous les journalistes seraient autorisés à rester dans la salle soit qu'aucun journaliste n'y avait le droit.

Jean Michel MALATRASI a répondu oui à la présence de la presse mais uniquement à celle qui lui convenait pour faire de la propagande en autorisant des articles au vitriol favorables à l'attentat judiciaire qu'il a programmé.

Le Boucher de Nice, a été plus loin en décidant que malgré leurs cartes de presse internationale, les Algériens n'avaient pas la compétence pour couvrir ces débats.

Incroyable contradiction entre la décision d'autoriser la presse en général et le renvoi des journalistes Algériens comme s'ils ne faisaient pas parti de la presse.

Il a porté atteinte aux droits fondamentaux de la liberté de la presse en général, à la dignité des journalistes Algériens qui ont constaté une discrimination évidente et à leur propre compétence qui a été mis en cause professionnellement.

Le problème de l'abus de pouvoir de ce monstre ne s'arrête pas là car en parallèle, par cette décision contestable, il a porté atteinte aux droits de la défense de Rachid MABED qui voulait à tout prix que la presse Algérienne apporte un équilibre journalistique et dénonce les anomalies de procédure.

La parodie de justice a été programmée par cette crapule de juge, Jean Michel MALATRASI, qui avait l'assurance d'agir mafieusement en toute impunité.

Grâce à cette collaboration avec le journal Nice Matin, Jean Michel MALATRASI a réussi son attentat judiciaire programmée par la cour d'appel d'Aix en provence.

CONTENU

. La parodie de jugement de Jean-Michel MALATRASI
. Manipulation médiatique de Jean Michel MALATRASI
. Les multiples abus de pouvoir du juge Jean Michel MALATRASI

. Manipulation médiatique de Jean Michel MALATRASI

. Bourayou le traitre

Bourayou: lettre à un Mafioso en col blanc

Bourayou et la mafia politico-financière
lettre aux journalistes algériens
Bourayou ou le pouvoir occulte
. Retour liste de magistrats
. Page d'accueil
. Les 21 Preuves de l'innocence de Rachid MABED

. Contact
Khaled Bourayou a trahi ces deux journalistes
Yazid OUAHIB

 Ouahib Yazid du journal EL-WATAN et son attaitude face à la corruption

 Omar Kharoum Rédacteur en chef du journal El Watan

 Kharoum Omar du journal El-Watan et sa réaction face à l'avocat corrompu Khaled Bourayou

La liberté de la presse bafouée par le juge corrompu avec l'accord de Nicole LAFFONT, journaliste de Nice Matin

Certes, nous avons eu droit à une justice à deux vitesses illicitement validée mais le plus choquant est ce manque de solidarité de la journaliste avec ses confrères de la presse algérienne.

Alors que le huis clos est décidé, si le président interdit la presse mais y autorise la présence d'une journaliste, il fallait protester contre cette forme de ségrégation.

La rétention de l'information est une obstruction à la liberté de la presse et c'est contraire à la constitution de la France.

Tout organisation judiciaire a le droit de décréter le huis clos mais dans le cas de la journaliste qui est restée dans la salle, cela est choquant.

En restant dans la salle alors que ses confères ont été renvoyés, la journaliste fait un métier de propagante.

Pour Nicole LAFFONT du journal Nice Matin qui a perdu toute sa crédibilité, il s'agissait de faire de la communication et non du journalisme qui traite objectivement de l'information, des faits pour que le grand public se fasse sa propre opinion.

En acceptant de faire de la communication, Nicole LAFFONT a fait la propagante du président Jean Michel MALATRASI qui avait pour objectif de faire adhérer les lecteurs du journal Nice Matin, à ses propres convictions mafieuses en ce qui concerne la condamnation programmée du Docteur Rachid MABED.

Plusieurs voix journalistiques défenseurs de la liberté de la presse, se sont élevées contre le huis clos qui autorise la présence de journalistes de façon sélective.

Ils sont tous unanimes à dire que dans ce cas, les journalistes devraient être solidaires et sortir tous ensemble.

Pour Nicole LAFFONT, cette solidarité ne pouvait pas avoir lieu car ses articles écrits au vitriol qui étaient éloignés de la réalité des débats de la cour d'assies, nous ont prouvé qu'elle avait pour mission de participer à un acte judiciaire barbare digne de la pire des ordures journalistiques.

Bravo au juge Jean Michel MALATRASI et à la journaliste Nicole LAFFONT, pour la réussite de leur association de malfaiteurs mafieuse, qui a fait la Nique aux droits de l'homme.

Questions

Le président de la cour d'assises peut-il aujourd'hui, nous expliquer comment est-il possible d'autoriser de façon sélective la présence d'une journaliste Française et de renvoyer de la salle d'audience d'assises les journalistes Algériens ?

La presse indépendante Algérienne est-elle une association de malfaiteurs?

Pourtant le journaliste renvoyé, Nadir BENSEBAA a reçu la médaille Algérienne du meilleur journaliste et une récompense de reporters sans frontière, ce que la pouilleuse Nicole LAFFONT ne connait pas(nous lui réserverons une page spéciale).

La décision du juge MALATRASI fut une décision discrimantoire, raciste, xénophobe et islamophobe qui a permis à ce truand d'éviter que ses magouilles soient dénoncées publiquement en Algérie.

La décision inique du président corrompu jean Michel MALATRASI, constitue un réel abus de pouvoir qui est un délit pénal constitué et qui relève de la compétence des chambres correctionnelles.

Comment cela s'est passé devant la cour d'assises

L'avocate de l'accusation demande à Jean Michel MALATRASI d'interdire la présence de journalistes algériens alors qu'en même temps elle demande d'autoriser la journaliste de Nice Matin à assister à ce procés. Elle déclare:

" Je demande à ce que ces deux journalistes n'assistent pas à l'audience d'assises car nous ne les connaissons pas, nous ne savons pas qui ils sont et nous ne savons pas comment ils travaillent par contre on connait bien le fonctionnement du journal Nice Matin ".

C'est avec cette appréciation fallacieuse que le boucher de la justice, le président Jean Michel MALATRASI, accorde à la partie civile une demande discriminatoire, raciste et méprisante.

Les deux journalistes Algériens (qui ont effectué le déplacement Alger Nice par avion) devaient quitter la salle et la journaliste du journal Nice Matin, Nicole LAFONT, pouvait assister à ce procés.

Cette décision discriminatoire aurait choqué un étudiant en première année de droit mais l'avocat Algérien Khaled BOURAYOU, n'a pas bronché pour défendre les journalistes alors qu'il est connu pour être l'avocat de la presse algérienne.

Cette Attitude vraiment Bizarre de l'avocat Khaled BOURAYOU, choqua le Docteur Rachid MABED ...

Un avocat apprenti aura immédiatement déposé des conclusions mentionnant le caractère raciste de la décision, la contradictoire entre l'autorisation de la presse et le renvoi des journalistes.

C'est à ce moment que Rachid MABED a senti le piège se refermer sur lui car il avait constaté que Khaled BOURAYOU a fait venir avec lui deux avocats marseillais qui ne sont pas intervenus.

Par la suite, il s'est avéré que ces deux avocats étaient franc-maçons de la GNLF proches du juge Jean Paul RENARD et Que l'un des avocats a eu une réelle attitude de voyou (nous lui reserverons une page spéciale sur ce site).

Morale de la décision du juge Jean-Michel MALATRASI

Jean Michel MALATRASI venait d'envoyer un message clair à Rachid MABED:
" c'est moi le Maître des débats, je mets le code de procédure pénale dans la poubelle, je vais uriné sur le code pénal, tes avocats sont sous ma botte et je vais t'exécuter ".

En sa qualité de président de la cour d'assises de Nice, Jean Michel MALATRASI s'est déclaré ouvertement comme étant le bras armé de la mafia niçoise à l'origine de la cabale judiciaire contre l'innocent Docteur Rachid MABED.

Le Boucher de la Justice avait tout prévu et il a bénéficié de l'aide des avocats de Rachid MABED dont Khaled BOURAYOU, qui ont favorisé un attentat judiciaire programmé par la cour d'appel d'Aix en provence.

L'avocat Michel CLERGE a été rapidement remercié par un aquittement pour son client suite au meurtre d'un policier lors d'un braquage à ville Neuve LOUBET (Alpes Maritimes) et l'autre ...

A ce jour, le truand Jean Michel MALATRASI a bénéficié d'une complète impunité mais ... l'avenir nous dictera la suite.